2016, la consommation mondiale frôle les 2 millions de tonnes (dont 25 % pour l'Europe) ! Problème : jamais le nombre des abeilles n'a été aussi faible. Barrière participe à la préservation de ces précieuses ouvrières.
Si les techniques de valorisation de la cire des ruches obtiennent de spectaculaires résultats, les abeilles, elles, sont en péril. Aujourd’hui, plus de 13 millions de colonies, environ 7 milliards d'individus, manquent à l'appel. Un constat alarmant pour certains spécialistes qui évoquent une possible extinction des colonies d'abeilles.
Pourquoi alarmant ? Parce que la disparition de ces ouvrières rimerait avec fin de la pollinisation des cultures de vergers et maraîchages.
La pollinisation est le transport du pollen des étamines d'une fleur jusqu'à une autre fleur de la même espèce, ce qui permet la fécondation. Le butinage des abeilles, vagabondant de pétales en pétales, favorise les échanges. Ces insectes sont donc indispensables au processus.
Protéger l’abeille, une mission qui s’impose
Depuis des années, le rôle néfaste des pesticides dits "produits phytosanitaires de la famille des néonicotinoïdes" est pointé du doigt. Les députés français ont voté leur interdiction à partir de janvier 2016. Un vote englué dans les alvéoles d'autres ruches, administratives celles-là. Le journal "Le Monde" indique qu'en 2014 la production française de miel est tombée à 10 000 tonnes, le plus bas historique. 32 000 tonnes coulaient encore des ruches en 1995 et 20 000 tonnes en 2011.
Entretemps, des acteurs économiques ou des institutions comme la Caisse des Dépôts et l'Opéra Garnier à Paris affirment avec fierté leur statut de producteur de "miel urbain". Comment ? En installant un réseau de ruches sur leurs toits. Barrière fait partie de ces protecteurs d’abeilles. De Cannes à Dinard, en passant par Ribeauvillé, La Baule, Enghien-les- Bains et Paris, un total de 54 ruches sont abritées au sein d’une dizaine d’établissements Barrière. Un début de réponse. Dare-dare.
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