HAUT DE PAGE

Face au virus Covid-19 Barrière dans le geste et dans l'action

Deux mille vingt. Cette année restera gravée en toutes lettres. Dans la mémoire des registres, elle ne s'écrira pas en chiffres, ni d'affaire ni de fréquentation des établissements de séjours, de loisirs et de divertissements.

 

Sur l'activité touristique hôtelière en France, le virus Covid-19 a posé son verdict : la fermeture des frontières, l'arrêt du trafic aérien international et des voyages d'affaires, le report des séminaires d'entreprises ou d'associations professionnelles, la contrainte de la "quatorzaine" ou de la "septaine"- quel qu'en soit le nombre de jours -, la distanciation physique et l'usage permanent d'un kit anti-virus : masque et gel hydro-alcoolique. La réponse immédiate du Groupe - avec, notamment, la mise en place de protocoles sanitaires dédiés et le développement de nouvelles solutions digitales pour fluidifier le parcours client, dont BPay, dispositif de paiement mobile en restauration- face à cette situation montre l'efficacité et l'implication de ses équipes. Efficacité et implication qui, en ces temps complexes, ont pour résultat une remise en activité certes parcellaire mais non négligeable des établissements Barrière dans un contexte économique plus que jamais tributaire de l'évolution sanitaire.

 

Alors, que faire ? Que faire avec et pour les 7000 collaborateurs du groupe Barrière ? Anticiper et s'adapter, comme il l'a toujours fait. Avant l'été - voilà trois mois - dans une interview au site internet Le Point.fr, Dominique Desseigne, Président-Directeur général de Barrière, donnait un cap : "Le temps d'aujourd'hui n'est vraiment pas celui des effets d'annonce. Alors, pas de bla-bla.  L'univers de l'accueil hôtelier et des loisirs en France affronte le pire de l'inédit : le vide et l'inconnu. Le vide, c'est l'absence de clients. L'inconnu, c'est le temps à devoir attendre encore la fin de la pandémie du coronavirus." Et d'ajouter : "Nos décisions d’aujourd’hui se conjuguent au futur proche. Depuis plus de cent ans, anticiper a été, est et sera le B.a.- B.a. de Barrière." Anticiper, cela veut dire : tenir. Maintenir. Malgré les centaines de millions perdus.

 

Trois mois et quelques projections économiques plus tard, pour l'activité touristique en France, en Europe et dans le monde,  une exigence demeure : celle de la sécurité sanitaire des clients et des collaborateurs. Mais dans ce "maintenir" s'inscrit aussi une autre exigence : celle de l'emploi à travers l'avenir immédiat d'un secteur économique qui s'est réinventé, structuré et développé au fil de ces cinquante dernières années. Au point de devenir un pilier porteur de la structure financière des pays les plus puissants de la planète G20. Notre objectif est de maintenir. Transformer sans changer le coeur d'un métier apprécié de nos clients. 

 

S'adapter ne veut pas dire subir. Barrière est plus que jamais dans le geste et dans l'action.

 

Le référent sécurité sanitaire Barrière dans les faits et dans les gestes

 

 

 

 

 

Un référent ce n'est pas, bien sûr, un contrôleur. Dans tous les établissements Barrière, son rôle - pérenne et désormais ancré dans le quotidien  - est celui d'un interlocuteur et d'un passeur d'informations à même de sensibiliser et de former les collaborateurs aux mesures sanitaires rendues nécessaires par l'épidémie du virus Covid-19 et certifiées par un huissier de justice. Il s'agit aussi pour lui ou pour elle de répondre aux questions que les circonstances peuvent poser au jour le jour en termes d'approvisionnement de produits sanitaires (gels, masques, gants, etc.) ; ou de relations avec les clients. Dans la tranquillité de leur séjour. Avec le référent, rien de différent. Sauf quelques précautions en plus.